Les parasols : sous le soleil exactement...

A pied déporté
C’est la solution idéale pour ne pas avoir le mat du parasol planté au milieu de la table de jardin. Les modèles à pied déporté sont réputés pour leur confort d’utilisation et leur maniabilité. Le Nouméa ne déroge pas à cette règle. Une poignée coulissant le long du mât permet de hisser le parasol jusqu’à 2,50 m de hauteur et de régler son inclinaison en fonction de l’orientation du soleil. L’ouverture de la toile (un carré de 3 x 3 m) s’effectue grâce à une manivelle. Le tout est monté sur un pied qui tourne à 360 degrés. Ce dernier demande à être stabilisé par l’ajout de quatre dalles de 15 kg chacune. Le modèle Nouméa est disponible en noir, taupe et blanc.
La chaleur du bois
Les matériaux naturels se fondent à merveille dans l’univers végétal d’un jardin. La structure du Bali, mât et baleines, est taillée dans du bois de Kempas, une essence exotique provenant d’Indonésie. Sa chaleureuse teinte rouge-orangée se marie parfaitement aux couleurs des  toiles, taupe et écru, disponibles en rond (3,50 m de diamètre) ou en carré (3 m de côté). Un système de double poulie couplé à un cordage permet de hisser facilement le parasol au moment de l’ouverture. Il existe également une version rectangulaire (3 x 4 m).
A fixer au mur
Ce parasol mural est destiné aux terrasses et balcons. Son bras articulé (1,75 m de long), qui doit être solidement ancré dans un mur, n’en reste pas moins manœuvrable. La structure, en acier et aluminium, est couverte d’une toile octogonale de 5 m2 de superficie, qui s’ouvre et se ferme par un système de poussoir, que l’on retrouve sur la majorité des parasols.