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Another automotive giant shows faith in post-Brexit Britain

Toyota, la centrale automobile japonaise a montré sa confiance dans une Grande-Bretagne post-Brexit en investissant 240 millions £ dans l'une de ses usines britanniques.
L'usine pour recevoir le financement est situé à Burnaston et fait la Toyota Auris et Avensis, l'expansion sera centrée sur l'installation d'un nouveau
système de fabrication global. L'année dernière, l'usine a produit 180'000 véhicules.
Cet investissement vise à rendre la région plus compétitive. Nigel Driffield, professeur de commerce international et chercheur en investissements directs étrangers
à Warwick Business School, a émis l'avis d'expert suivant:
"L'annonce de Toyota peut être considérée comme une affaire courante - pour le moment." L'investissement de 240 millions de dollars est éclipsé par le projet de 10 milliards de dollars que l'entreprise
a l'intention d'investir aux États-Unis au cours des cinq prochaines années et est un montant qui n'est pas beaucoup plus que de «cocher».
"Cependant, cette annonce par Toyota est une preuve supplémentaire que l'industrie automobile est confiante que même dans le cas d'un Brexit dur, il obtiendra le type
de soutien dont le gouvernement a besoin pour rester compétitif.
"Il est probable que les tarifs dans l'industrie automobile seront faibles entre le Royaume-Uni et l'Europe, et les entreprises sont particulièrement préoccupés par leur chaîne d'approvisionnement.
Actuellement, les principaux producteurs britanniques ont des chaînes d'approvisionnement qui traversent plusieurs fois le canal, ce qui est particulièrement vrai des constructeurs automobiles japonais.
«Ceux-ci sont particulièrement vulnérables à un Brexit difficile, car les barrières tarifaires et non tarifaires qui peuvent surgir rendront la coordination de ces chaînes d'approvisionnement problématique.
"Le gouvernement, ainsi que les agences locales, doivent réfléchir attentivement à la manière dont les chaînes d'approvisionnement locales peuvent être renforcées et où les vulnérabilités
à un Brexit dur sont. "

Toyota, the Japanese automotive powerhouse has showed its faith in a post-Brexit Britain by investing £240 million into one of its UK based factories. 

The plant to receive the funding is located in burnaston and makes the Toyota Auris and Avensis, the expansion will be centered around installing a new 

global manufacturing system. Last year the factory produced 180’000 vehicles. 

This investment aims to make the local area more competitive. Nigel Driffield, Professor of International Business and a researcher in foreign direct investment 

at Warwick Business School, offered the following expert opinion:

"Toyota’s announcement may be considered 'business as usual – for now'. The £240m investment is dwarfed by the proposed $10bn that the company 

intends to invest in the US over the next 5 years, and is an amount that is not much more than 'ticking over'.

"However, this announcement by Toyota is further evidence that the car industry is confident that even in the event of a hard Brexit it will get the type 

of support that it needs from the Government to remain competitive.

"It is likely that tariffs in the car industry will be low between the UK and Europe, and what companies are particularly concerned about is their supply chain. 

At the moment the main UK producers have supply chains which cross the channel a number of times, and this is especially true of the Japanese car manufacturers.

"These are particularly vulnerable to a hard Brexit, as both the tariff and non-tariff barriers that may arise will make co-ordinating such supply chains problematic.

"The Government, as well as local agencies, needs to give careful thought to where local supply chains can be strengthened, and where the vulnerabilities 

to a hard Brexit are."